4 février 2008
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18:00
Pour équilibrer le budget de l'école, nous sommes amenés à faire appel, entres autres, aux mairies qui constituent les territoires sur lesquels nous sommes implantés.
Nous avons généralement du soutien.
Parfois les maires les plus concernés, ceux dont les communes abritent le plus de jeunes sans emploi ni diplôme ni qualification, rétorquent que leur situation financière est difficile justement à cause des problèmes sociaux auxquels ils doivent faire face.
Ils nous conseillent alors "d'aller voir les riches". Eux-mêmes moins concernés, car la proportion de leurs administrés dans nos effectifs est faible. L'investissement leur semble moins rentable.
Impression de tourner en rond...
Cela donne en tous cas, du sens à cet article :
Qu'en pensez-vous ?
Nous avons généralement du soutien.
Parfois les maires les plus concernés, ceux dont les communes abritent le plus de jeunes sans emploi ni diplôme ni qualification, rétorquent que leur situation financière est difficile justement à cause des problèmes sociaux auxquels ils doivent faire face.
Ils nous conseillent alors "d'aller voir les riches". Eux-mêmes moins concernés, car la proportion de leurs administrés dans nos effectifs est faible. L'investissement leur semble moins rentable.
Impression de tourner en rond...
Cela donne en tous cas, du sens à cet article :
Plan
banlieue : Fadela Amara défend une réforme de la solidarité financière entre villes
LE MONDE | 04.02.08
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